Informations pratiques

Tarifs

Honoraires consultation individuelle au cabinet 1h  : 45 euros. (Chaque séance dure en général entre 50 min et une heure).

Séance de suivi au cabinet demi-heure  : 38 euros.

Séance de guidance parentale 1h : 45 euros

La longueur et la périodicité des séances ne seront pas automatiques. La prise en charge sera ajustée en fonction de la disponibilité du patient, de son désir et de ses ressources. Ces modalités seront définies lors du premier rendez-vous et pourront être adaptées au cours du travail.

Pour le bilan cognitif aucun devis ne peut être établi au téléphone ou en dehors de toute consultation préliminaire.

Informations pratiques

Attention aux faux « psy »

Il n’y a seulement que 3 titres, qui sont, en théorie, protégés par la loi, garantissant une formation universitaire sérieuse préalable à la pratique des psychothérapies : psychiatre, psychologue et psychothérapeute. Malheureusement, en ce qui concerne « psychothérapeute », certains contournements peuvent encore persister et nécessitent d’être vigilants.

L’inscription sur liste ADELI vise à protéger les patients de personnes incompétentes, mais aussi d’abus, d’escroqueries et de dérives sectaires car jusqu’alors, n’importe qui pouvait s’autoproclamer « psychothérapeute », sans justifier d’une formation.

En pratique, des « dérapages » peuvent encore exister. Par exemple, certains annuaires ont créé depuis la loi des rubriques pour lesquelles, comme auparavant, aucune qualification n’est nécessaire, telle « Psychothérapie (pratique hors du cadre réglementé) »

Avant de démarrer une psychothérapie il est important de vérifier que le psychologue ou psychothérapeute est inscrit au Registre National des Psychothérapeutes ou des Psychologues.

Cependant le Registre National des Professionnels de Santé, qui inclut donc les Psychothérapeutes, (ou Registre ADELI) n’est pas encore disponible sur internet.

Si vous souhaitez savoir si votre psychothérapeute est sur ce registre, il vous suffit de consulter le site de l’ARS ou contacter l’ARS de votre région, comme précisé ci-dessous. Ils vous répondront rapidement.

Pour plus d'informations : Source de l'article : fauxpsycho.wordpress.com
Informations pratiques

Les différents professionnels

Psy… Voilà un drôle de mot passé dans le langage courant ! Mais qui est vraiment psy ? Il est difficile de se repérer lorsqu’on souhaite s’adresser à un professionnel. Il existe un dispositif légal qui encadre les activités du domaine psy. 
Le psychologue

Comme les médecins les psychologues présentent des spécialisations .

Bien tous les détenteurs d’un Master en psychologie avec option professionnalisante soient « psychologue », il existe différentes approches qui déterminent naturellement le travail du psychologue et son orientation.

Parmi les Psychologues nous trouvons le psychologue clinicien, le psychosociologue, le psychologue cognitiviste, le neuropsychologue, le psychologue de la santé, le psychologue du développement (enfant et adolescent).

Le psychologue remplit trois grandes fonctions : de diagnostic, de formation, d’expert apportant le point de vue du psychologue auprès d’autres spécialistes.

En AUCUN CAS un psychologue est un psychanalyste. La psychanalyse est une pratique particulière répondant à des règles et un cadre précis qui s’assimile à une clinique codifiée.
Un psychologue peut toutefois être également psychanalyste dans le cas où il s’engage dans un travail personnel en vue d’assumer à son tour la fonction de psychanalyste.

Le titre de psychologue est réglementé et protégé par la loi.

Pour l’obtenir, 5 années d’études sont obligatoires. Elles se déroulent à l’université et conduisent les étudiants à l’obtention d’un master 2. C’est à ce niveau bac+5 que les étudiants se spécialisent, par exemple, en psychologie de l’enfant, psychologie du travail, psychologie sociale…

Chaque psychologue en activité doit faire enregistrer ses diplômes auprès de la Délégation Territoriale de l’ Agence Régionale de Santé (DTARS). Cet enregistrement permet la délivrance d’un numéro ADELI qui est une garantie, pour les patients, que le psychologue a obtenu les diplômes nécessaires à l’exercice de sa profession.

Le psychiatre

Le Psychiatre n’est pas un psychologue. Le psychiatre possède une formation de base de docteur en médecine. Après cette formation universitaire de plusieurs années, il a suivi une spécialisation en psychiatrie.

Contrairement au Psychologue, le Psychiatre a la possibilité de prescrire des traitements médicamenteux  et de proposer ou d’imposer (dans de très rares cas prévus par la Loi) une hospitalisation dans un centre spécialisé lorsque la situation nécessite une telle mesure. Il peut mener des psychothérapies auxquelles adjoindre parfois une prescription d’un traitement psychotropes.

Le psychothérapeute

Les moyens de la psychothérapie ne sont que psychologiques bien qu’ils puissent être très diversifiés. Cela va de l’utilisation de la parole comme unique vecteur de changement jusqu’à l’adjonction de techniques diverses comme la musique, le dessin, le théâtre, le geste, etc. Quelque soit la technique utilisée celle-ci s’appuie avant tout sur la relation entre le patient et le thérapeute.

Depuis le Décret N° 2010-534 du 20 mai 2010, le titre commun de psychothérapeute est protégé par la loi. Il est attribué par les agences régionales de santé aux professionnels dont la formation est conforme à la réglementation. Avant 2011 il était possible de s’autoproclamer psychothérapeute du jour au lendemain et d’ouvrir son propre cabinet.

Tous les psychothérapeutes formés depuis 2011 justifient d’un diplôme universitaire d’un niveau supérieur ou égal à bac+5 en médecine, psychologie, ou psychanalyse, et ont effectué des stages de longue durée en institution psychiatrique.  L’inscription sur ce registre requiert d’avoir fait un stage pratique d’une durée minimale de cinq mois et une formation théorique en psychopathologie clinique de 400 heures minimum. A l’heure actuelle, seules des institutions universitaires délivrent cette formation théorique.

Le psychanalyste 

C’est une personne qui utilise comme théorie et comme technique la psychanalyse née de Sigmund Freud. Là encore il convient d’être vigilant sur la qualité de la personne ( soit psychologue, soit psychiatre, soit membre d’une société psychanalytique reconnue (SPP,SFP,ELP,Cause freudienne, API,etc…).

Il est reconnu qu’un certain nombre de personnes se proclament « psychanalystes » sans en avoir ni la formation ni la technique ou sans avoir poursuivi de cursus de formation après sa propre analyse.

Les professions non reconnues : 
Les risques : 

Attention !! Le développement personnel est en plein essor et nombreuses sont les chapelles qui vous ouvrent leurs portent en vous garantissant un mieux être et une harmonie retrouvée…

N’oubliez pas également que la Mission Interministérielle de Lutte contre les Sectes met en garde contre les nombreuses dérives sectaire des psychothérapies nouvelles…

En ne consultant qu’un psychologue ou un psychiatre, vous limitez les risques de vous retrouver pris dans des thérapies parfois douteuses et vous vous assurez les services d’une personne réellement formée. Avant la promulgation du décret de protection du titre de « psychothérapeute », un certains nombre de personnes insuffisamment formées ont pu conduire leurs patients à des dérives.

Les professions non reconnues : psychopraticien, psychopraticien certifié, psychopraticien  relationnel, thérapeute, thérapeute diplômé, praticien en psychothérapie, écoute et relation d’aide, psychothérapie hors du cadre réglementé, psychanalyste,  hypnothérapeute, développement personnel….

Ces titres n’ont aucun statut légal et ne sont pas réglementés par la loi. N’importe qui peut donc utiliser ces appellations pour mettre une plaque et recevoir des patients (Même sans diplôme).
Ces personnes sont présentes au sein des pages jaunes à la rubrique « psychothérapie, soins hors d’un cadre réglementé ».

Parmi les gens qui se présentent comme « thérapeute » un grand nombre n’a aucun diplôme et aucune formation spécifique. Il peut s’agir de personnes qui ont simplement lues des ouvrages de psychanalyses ou de psychologie et qui décide d’en faire un métier. Certaines personnes ont également des diplômes non reconnus par la loi.

Informations pratiques

Bientôt le remboursement des consultations par la sécu ?

L’expérimentation du remboursement des psychologues libéraux pour les 6-21 ans pour  l’Ile de France, les Pays de la Loire et lea Région Grand Est est définitivement adoptée…

Le projet de loi de financement de la sécurité sociale pour 2017 a été définitivement adopté à l’Assemblée nationale le 6 décembre 2016.

Dans sa version définitive, l’article 68 valide l’expérimentation du remboursement des consultations chez un psychologe en libéral pour les jeunes de 6 à 21 ans

Dans cette expérimentation prévue pour l’instant uniquement dans 3 régions en 2017 (Ile de France, Pays de la Loire et Grand Est) les médecins ou les psychologues scolaires pourront orienter les familles vers les psychologues installés en libéral qui diposent d’un numéro ADELI… Il n’y a plus qu’à espérer que ça arrive prochainement dans le PACA… Affaire à suivre!

Source : psychologue.org

Lire ci-dessous le texte de l’article 68 adopté le 6 décembre 2016 

(AN NL) Article 68 40

I. – Des expérimentations peuvent être menées, à partir du 1er janvier 2017 et pour une durée n’excédant pas quatre ans, afin d’améliorer la prise en charge et le suivi de jeunes de six à vingt et un ans chez lesquels un médecin, notamment médecin généraliste, médecin scolaire, pédiatre ou psychologue scolaire, a évalué une souffrance psychique.

Dans le cadre de ces expérimentations, les médecins ou psychologues scolaires peuvent, après évaluation, orienter vers des consultations de psychologues libéraux, en fonction des besoins et de la situation du jeune et de sa famille.

Ces consultations sont réalisées par les psychologues libéraux figurant sur la liste mentionnée à l’avant-dernier alinéa du I de l’article 44 de la loi n° 85-772 du 25 juillet 1985 portant diverses dispositions d’ordre social et donnent lieu à un financement forfaitaire sur les crédits du fonds d’intervention régional mentionné à l’article L. 1435-8 du code de la santé publique.

Les ministres chargés de la santé et de la sécurité sociale arrêtent la liste des territoires retenus pour les expérimentations.

(AN 1) II. – Un décret précise les modalités de mise en œuvre et d’évaluation de ces expérimentations, notamment quant au suivi des patients et au financement des consultations.

(S1) III. – Un rapport d’évaluation est réalisé par le Gouvernement au terme de l’expérimentation et transmis au Parlement.

Informations pratiques

Tarifs

Première consultation : 48 euros. Dans l’idéal le premier rendez-vous se fait avec les deux parents. Si les parents sont séparés cela peut se faire en deux rencontres. Lors de cette première consultation, les parents et l’enfant vont expliquer les motifs de leur venue. Le psychologue va recevoir l’enfant avec ses parents et créer l’ouverture d’un dialogue, d’un échange, sur la problématique. A la fin de cet entretien, si cela est nécessaire, le psychologue propose à l’enfant de le revoir sans ses parents et lui expliquer qu’il pourra s’exprimer en toute liberté dans cet espace qui lui appartient.

Consultation de suivi courte : 38 . La séance dure 35 minutes avec un temps d’échange avec le ou les parent(s) en début et fin de séance.  Un temps plus court de consultation est plus adapté pour les jeunes enfants.

Consultation de suivi longue : 45 . Chaque séance dure en général entre 45 min et une heure, la durée de la consultation comprend un temps d’échange avec le ou les parent(s) en début de séance et un temps dans lequel le psychologue reçoit l’enfant ou l’adolescent seul.

Séance de guidance parentale  : 48 €. Il s’agit d’un accompagnement et soutien des parents. La guidance parentale est indiquée lorsque des parents, en couple, séparés ou élevant seuls leurs enfants, rencontrent des difficultés dans l’encadrement éducatif de ces derniers. Elle offre aux parents un soutien permettant de faire émerger leurs compétences et leur donne des moyens pour améliorer leurs attitudes parentales.

La longueur et la périodicité des séances ne seront pas automatiques. La prise en charge sera ajustée en fonction de la disponibilité du patient, de son désir et de ses ressources. Ces modalités seront définies lors du premier rendez-vous et pourront être adaptées au cours du travail.

Informations pratiques

Accès

Le cabinet se situe au du Parc d’Activité la Baou, au 210 rue l’Innovation à Sanary-sur-Mer.

Le cabinet est au premier étage, la porte d’accès est au fond de la cour.

Vous avez la possibilité de vous garer devant le bâtiment.

La gare SNCF de Sanary est à environs 20 minutes à pied.

*Je propose des séances en visio-conférence pour les personnes ne pouvant venir au cabinet pour des raisons liées à la maladie, au handicap . 

 

Informations pratiques

Remboursement par les mutuelles

Un psychologue n’est pas médecin et ne bénéficie pas de conventions avec la Sécurité Sociale. Les consultations ne sont donc pas remboursées par cet organisme. En France, les consultations faites par un professionnel psychologue clinicien en cabinet privé restent donc à la charge du patient. Cependant, les dépassements d’honoraire d’une consultation chez un spécialiste médecin peuvent être similaires au coût d’une consultation chez un spécialiste psychologue clinicien.

Depuis Juin 2022 le dispositif gouvernemental « Mon Psy » permet sur ordonnance du médecin de bénéficier d’un soutien psychologique  sur 8 séances de 30 minutes maximum (mais il n’est pas possible de faire des séances de psychothérapie). Seul un nombre limité de psychologues ont souhaité adhérer à ce projet. Le cabinet ne fait pas partie de ce dispositif pour l’instant.

Néanmoins, il peut y avoir d’autres possibilités d’obtenir un remboursement partiel de prestations psychologiques (bilan et suivis), en fonction des ressources par : 

  • Le PASS Santé Jeunes de la région Sud : faire la demande sur :  pass-sante@info-maregionsud.fr (remboursement de 22.50 sur 4 consultations pour les jeunes de 16 à 26 ans)
  • Votre mutuelle, votre caisse de retraite, votre assurance ou
    toute autre complémentaire santé, peuvent également
    proposer des aides dites « extra-légales ». N’hésitez pas à vous renseigner auprès de votre mutuelle ou de votre banque.
  • Le CCAS (Centre Communal d’Action Sociale) de votre ville
    en passant par une assistante sociale.
  • Le Conseil Départemental :
    – pour les enfants qui relèvent de l’Aide Sociale à l’Enfance,
    – ou lorsqu’une demande est faite auprès d’une assistante
    sociale de l’UTS de votre lieu d’habitation.
  • La MDPH : nécessité d’une reconnaissance de handicap.

A votre demande, il pourra vous être remis une facture pour chacune de vos séances afin d’effectuer vos remboursements.